Faire des rencontres dans le pire endroit possible : les boite de nuit
Aujourd’hui, je vais vous raconter comment j’ai pu surmonter mon angoisse et ma peur de rencontrer et de parler à des belles femmes. Mais avant toute chose, je dois vous mettre en garde : cet article ne va pas faire de vous un don juan ni un séducteur hors pair. Pourquoi?
Parce que Mozart n’est pas devenu le meilleur du monde en lisant une partition. Il l’est devenu, certes, en ayant un talent inné monstrueux… Mais surtout en pratiquant sa passion au quotidien, et avec bien plus d’obsession que n’importe qui.
Le moment où le désir commence à naître...
En sortant de l’adolescence et en rentrant dans le monde adulte, j’ai commencé à connaître la tentation des filles au quotidien... Et je ne peux pas décrire quel plaisir c’est de rencontrer aujourd’hui des escortes Blois...
Du lycée, qui est un monde clos duquel on fait très rapidement le tour, avec 5-10 filles “belles” qui se trouveront rapidement un copain pour tout le reste de l’année, je passais à la faculté et au monde du travail… Ou les jolies filles ne sont plus rares, mais tout autour de nous. Dès le premier jour je ne savais plus où donner de la tête : j’étais tellement excitée ! Tellement de belles femmes, ayant l’air intéressantes, dans les études supérieures… comme moi. Même dans mon job étudiant, il y avait largement de quoi faire… C’est simple : je ne savais plus où donner de la tête.
Les femmes sont-elles innaccessibles pour la plupart d’entre nous?
J’en parlais à mes amis, et l’avis était unanime : Oui, la fac et le monde adulte est bourrée de jolies femmes. Mais elles sont inaccessibles pour nous. Les plus jolies sont prises, ou seront prises seulement par le top 1% des hommes. Les gravures de mode, les Mr. Muscle et les fils à papa seulement pouvaient avoir ces belles femmes. Nous, les banals étudiants, nous ne pouvions qu’admirer de loin ces jolies femmes en tenues d’été, avec leurs sacs de marques, leur maquillage léger et leurs parfums de luxe flottant tout autour d’elles. Un jour, j’étais à une terrasse dans une ville du sud de la France avec un collègue de promo. Et soudainement, il ouvre Tinder, et il me dit : “tiens tu vois elle, elle est de notre promo ! On à matché ensemble hier, et ce soir je la vois…” Choqué, je lui demande où ils vont se voir. Et là, il me répond dans le plus grand des calmes “Chez moi, je lui ai proposé de voir un film”.
Je n’en revenais pas… C’était si simple ? Comment c’était possible ? Je lui ai demandé comment il faisait… Et il m’a dit qu’il ne savait pas, que c’était simple et que j’avais qu’à rester moi-même. Mais j’étais perplexe, je lui ai demandé s’il n’y avait pas “un truc”. Il m’a répondu “Viens avec moi en soirée, tu verras”. J’ai refusé instantanément, prétextant une urgence pour la soirée fatidique… Mais à bien y réfléchir, je me suis dit pourquoi pas. Malgré toutes mes peurs et mes angoisess, si j’étais avec lui, ça pouvait bien se passer : il était rassurant, et s’il me disait que c’était simple, alors je le croyais. C’est comme ça que j’ai commencé à mettre le pied dans la vie nocturne étudiante.
Vous ne savez plus où donner de la tête
Des soirées, des beuveries, des cours qui sautent… et surtout : des filles. Pleins de filles. ça semblait être le moyen le plus rapide pour surmonter mes craintes et apprendres de ceux qui sont expérimentés. Cette soirée, je ne la raconterais pas ici. Mais ce qui est certain, c’est que : oui, les Mr. Muscle et les hommes charismatiques ont eu des femmes. Mais pas forcément les plus belles, ni les plus intéressantes.En regardant attentivement le comportement de mon collègue et de ses amis, je pouvais noter plusieurs choses : ils étaient tous très souriants, ou au moins ils parraissaient détendu, comme si la musique beaucoup trop forte, l’alcool qui monte à la tête, et la foule compact ne les atteignait pas. Ensuite, ils parlaient en groupe. De groupe à groupe. Et même, quand mon collègue avait quelqu’un dans son optique, il allait même à son ami à côté. Il ne faut pas oublier que les rencontres sont très souvent dans un cercle : il n’y a pas que vous et celle qui vous intéresse.
C’est possible de draguer… pour tout le monde
Et oui, c’était possible pour n’importe qui d’avoir un contact avec une jolie fille, et même d’avoir son numéro voir plus. J’avais moi même réussi à danser puis parler un peu avec une fille qui se moquait gentiment de ma façon de danser… Stop. Je tiens à préciser un truc : à l’époque, ce genre de remarque m’aurait carrément coupé court dans mon élan. J’aurais voulu me cacher dans un trou et ne plus jamais en ressortir. Mais voilà... Tout le monde était souriant, même cette fille qui m’as entérré d’une seule phrase. Et je ne sentais aucune animosité… et j’étais ( légèrement ) alcoolisé, donc déshinibé. Sans trop faire attention, j’ai continué à parler, en enchaînant la conversation de façon fluide et détendue. Je rebondissais sur ses remarques, je faisais des blagues… On riait ensemble. Exactement comme une conversation ou un moment partagé entre amis. Sauf que voilà : je n’étais pas suffisamment conscient de ces faits et gestes. Elle a dû m'envoyer une bonne douzaine de signaux. Devine combien j’en ai repéré ? Pas un seul. J’ai demandé son numéro seulement après qu’elle ai pris les devants. Ses amis étaient venu nous interrompre pour lui glisser un mot à l’oreille. Elle part. J’ai le cœur qui s'emballe : j’étais tiraillé entre mon envie de lui soutirer son numéro pour qu’on se revoit, et ma peur phobique de sortir de ma zone de confort, de demander et de passer pour un lourdaud. Finalement, elle s’approche de mon oreille pour hurler ( et oui, on était dans un bar dansant ) : “tu veux mon numéro ?” Je n’avais fait qu’une moitié du parcours, mais j’avais touché au but.
La leçon?
C’est que même en étant le plus socialement inadapté, en ne sortant jamais, eh bien vous êtes intéressant. Avec un peu de culture et de conversation, et une apparence soignée, vous pouvez captiver et attirer l’attention d’une jolie fille sans effort… et vous pouvez laissez faire ça naturellement. Sans avoir peur de prendre les devants, de demander (son numéro par exemple)